REBEUS: FARBA A LA CHAMBRE 42 AVEC SON AMI LAT DIOP

Farba Ngom, mis en examen pour fraude liée aux fonds publics s'élevant à 31 milliards de FCFA, blanchiment d'argent et association criminelle, a été placé sous les verrous ce jeudi. Selon Seneweb, Farba Ngom sera incarcéré dans la chambre 42 de la prison de Rebeuss pour ses premières nuits. Paradoxalement, il cohabite dans cette cellule avec un autre dirigeant de l'ancien parti au pouvoir, Lat Diop, qui était le directeur général de la Lonase. Après son deuxième face-à-face avec le juge d’instruction du pool judiciaire financier, Mouhamadou Farba Ngom, maire d’Agnam et proche de l’ancien président Macky Sall, a été…

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Tahirou Sarr est convoqué aujourd’hui devant le collège des juges d’instruction

Tahirou  Sarr offre plus de 300 milliards pour échapper à l'emprisonnementTahirou Sarr, l'homme d'affaires, est appelé aujourd'hui devant le panel des magistrats instructeurs du Pool judiciaire financier concernant l'affaire des 125 milliards de FCFA mentionnée dans le rapport de la CENTIF. Pour empêcher un mandat d'arrêt, Tahirou Sarr a confié à la procédure de Libération plusieurs milliards et des documents fonciers, révélant ainsi ses secrets au juge. Concernant l'affaire de Farba Ngom, qui fait face à des accusations portant sur 25 milliards 388 millions 944 mille 444 Fcfa, Tahirou Sarr a, par le biais de son avocat, déjà soumis une demande pour déposer un chèque de 11 milliards de Fcfa et deux titres fonciers estimés respectivement à 1 et 12 milliards de Fcfa. Concernant le dossier le visant personnellement pour 91 milliards 636 millions 628 mille 050 de Fcfa, Tahirou Sarr a mis sur la table un titre foncier…

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URGENT ,Assemblée nationale : Le Bureau a refusé la proposition de loi visant à abroger la loi d’amnistie de Thierno Alassane Sall pour…

  « Ce Mercredi 26 février 2025, le Bureau de l'Assemblée nationale a statué sur la proposition de loi soumise par Thierno Alassane Sall. » Suite à l'analyse du texte, nous avons noté que cette proposition ne se conforme pas aux critères constitutionnels budgétaires, ce qui a conduit à son rejet catégorique », déclare Ismaila Diallo, premier vice-président de l'Assemblée nationale. La proposition de loi visant à annuler la loi d'amnistie de Thierno Alassane Sall a été refusée par le Bureau de l'Assemblée nationale en raison de son non-respect des normes budgétaires Selon ses dires, en vertu de l'article 82 de la Constitution et de l'article 60 du RNI, toute proposition législative pouvant entraîner une réduction des revenus de l'État ou une hausse de ses dépenses doit obligatoirement être soutenue par des dispositifs de compensation financière. Cependant, le texte proposé par Thierno Alassane Sall ne comporte aucune disposition compensatoire, ce qui rend son adoption impossible d'un point de vue juridique et financier. Comme l'indique M. Diallo, le Bureau de l'Assemblée a aussi noté l'absence d'analyse d'impact budgétaire, un aspect qui est pourtant crucial pour juger la viabilité de toute action législative. Par conséquent, la proposition de loi a été considérée comme irrecevable et ne pourra par conséquent pas être présentée à la discussion parlementaire. « Cette résolution souligne l'importance pour tout intervenant politique désireux de proposer une loi, d'adopter une démarche stricte et respectueuse des règles institutionnelles. » Il souligne aussi que la formulation d'une proposition de loi ne peut se réduire à une simple démarche politique, mais doit être soutenue par une étude détaillée des conséquences économiques et financières », ajoute-t-il D'après lui, en réponse à ce refus, Thierno Alassane Sall et ses soutiens devront ajuster leur projet s'ils aspirent à présenter une loi qui répond aux critères du Parlement et susceptible d'être approuvée par les députés.

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URGENT : Assane Diouf a été interpellé par la DIC et mis en garde à vue ce matin.

La Brigade des Affaires Générales (BAG) de la Division des Investigations Criminelles (DIC) accueille un invité haut en couleur. D'après nos collègues de Kewoulo, Assane Diouf, connu comme le « premier insulter » du Sénégal, est actuellement placé en détention provisoire dans les locaux de la DIC L'interpellation de cet individu, dont le passé est tumultueux, a été effectuée en début de matinée à Guédiawaye. Actuellement sous étroite surveillance à la DIC, les motifs précis de son arrestation restent encore nébuleux. Néanmoins, des rumeurs circulent. Selon des témoins proches de la situation, son arrestation pourrait être associée à ses récentes apparitions médiatiques qui ont provoqué une onde de choc dans l'opinion publique et attiré l'œil des autorités. Récemment, Assane Diouf a attiré l'attention par ses critiques virulentes contre le gouvernement de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Ousmane Sonko. Il a spécifiquement déclaré sur ITV, en compagnie de Cheikh Sarr, que « les fonds destinés à être répartis parmi les partisans de Pastef ont déjà été gaspillés par les nouveaux dirigeants ». Un communiqué qui a su raviver les tensions déjà existantes entre le régime au pouvoir et ses détracteurs.

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Dernières nouvelles : Adama Fall de BBY a été libéré après sa confrontation avec le magistrat.

    Placé sous mandat de dépôt le lundi 25 février, Adama Fall a comparu en flagrant délit ce mercredi au tribunal de grande instance de Dakar. Durant son audition de ce mercredi 26 février 2025 , il a clarifié ses propos en affirmant qu’il assumait pleinement ses déclarations, précisant toutefois qu’il n’avait jamais eu l’intention de nuire ou de semer la panique. Adama Fall alias Adus a fait savoir devant le juge « Je prends pleinement la responsabilité de mes paroles, cependant je n'avais aucune intention de porter préjudice ou de détruire ».   lechroniqueur et membre de l’Alliance Pour la République (APR), Adama Fall, a été présenté ce mercredi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour diffusion de fausses nouvelles. L'incident découle d'un programme diffusé sur YouTube, où lechroniqueur a mentionné la supposée migration de jeunes vers le Qatar pour une somme de 1 500 000 FCFA. Malgré ses excuses, le procureur de la République a requis une peine sévère : six mois de prison ferme et une amende de 500 000 FCFA. Toutefois, le juge n’a pas suivi cette demande et a décidé de le relaxer, le libérant ainsi de toute charge. La décision de relaxe a été accueillie par un soulagement pour le prévenu et ses soutiens présents en salle.

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uite à la demande de liberté provisoire déposée par Me Sally Mamadou Thiam, Amath Suzanne Camara a été libéré ce lundi par le juge du 3e cabinet. Le membre du…

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